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“Perdre du poids : ce n’est pas une histoire de régime, c’est une histoire d’identité.”

  • Photo du rédacteur: Max
    Max
  • 11 juin
  • 4 min de lecture

1. Introduction : Ce que perdre du poids signifie vraiment

Quand on parle de perte de poids, on pense souvent à des chiffres, des calories, des balances.

Mais si tu lis cet article, c’est probablement parce que tu sais que ça va bien plus loin.

Je suis coach sportif, bien-être et préparateur mental. Mon métier, c’est d’accompagner les femmes et les hommes vers une transformation durable. Pas seulement physique, mais aussi mentale et émotionnelle.

Car le vrai défi, ce n’est pas de suivre un plan d’entraînement ou un programme alimentaire. Ce que font tous les bons coachs. Le vrai défi, c’est de faire croire à la personne qu’elle est capable de devenir celle qu’elle veut être.

👉 Et c’est là que mon approche est différente.

J’intègre à mes accompagnements une dimension mentale forte. Je ne me contente pas de faire transpirer mes clients. Je les aide à reprogrammer leurs croyances, à redéfinir leur identité, à reconnecter leur cerveau à leurs vraies intentions.

Parce que tu ne peux pas changer durablement ton corps si tu n’as pas changé ton discours intérieur.



2. Ce que les gens me demandent souvent

👉 “Je veux perdre 10 kg avant l’été.”

👉 “Je veux me sentir bien dans mes vêtements.”

👉 “Je veux pouvoir courir avec mes enfants sans être essoufflé.”

👉 “Je veux me plaire à nouveau.”

Et je réponds toujours : “Très bien. Mais qui veux-tu devenir, exactement ?”

Parce que la perte de poids durable ne commence pas dans la salle de sport. Elle commence dans l’intention profonde qu’on y met.


3. Ce qui ne fonctionne pas : deux histoires réelles

Amélie, 44 ans

Le contexte : Amélie a deux enfants, une vie active, une routine déjà assez dynamique. Elle pèse 90 kg et souhaite retrouver de l’énergie, se sentir sexy, et pouvoir jouer avec son fils ado.

Le plan : après 15 séances ensemble (2/semaine sur 8 ou 9 semaines), un bon rythme, une belle implication… Résultat : -6 kg.

Mais… Amélie continue à se percevoir comme “une personne grosse qui doit perdre du poids”. Cette croyance ancrée, non travaillée, finit par tout bloquer.

👉 Les séances s’espacent, les annulations s’enchaînent… jusqu’à l’arrêt total.

Quelques semaines plus tard, elle reprend le poids perdu.

Conclusion : sans changement d’image de soi, le corps revient toujours à l’ancien schéma

Romain, 47 ans

Le contexte : Patron d’entreprise, 112 kg, deux enfants. Volontaire, très motivé, prêt à se lever tôt pour bouger. Objectif : passer sous les 100 kg.

Le plan : 2 séances par semaine ensemble + 1 à 2 en solo. Forme physique top, intensité au rendez-vous.

Mais… Résultat : seulement -5 kg en 20 séances. (En plus de 2 mois)

Pourquoi ?

• Sommeil insuffisant (4-5h par nuit)

• Alimentation chaotique (pas de petit-déj, repas d’affaires arrosés, dîner copieux)

👉 Son système de récupération et d’alimentation sabote tous ses efforts physiques.

Il est plus en forme, oui. Mais le poids reste, car deux piliers essentiels manquent : le sommeil et la structure alimentaire.


4. Ce qui fonctionne :

✅ Le cas de Flo, 28 ans


Le contexte : 100 kg au démarrage, une profession et un quotidien exigeants avec des horaires décalés. Objectif annoncé : 80 kg. Mais surtout, se sentir bien dans son corps et alignée avec ses choix de vie.


Le plan : avant de commencer le coaching, accompagnement avec une nutritionniste pour un plan alimentaire non restrictif, réaliste et durable.

Côté sport, on commence en douceur : une séance en présentiel + une séance en autonomie chaque semaine (qu’elle pratique 2 fois).


Rapidement, on passe à deux séances hebdomadaires + des exercices à faire seule à la maison (renforcement, mobilité, intégration progressive de la course)


Résultat : -20 kg en six mois. Aujourd’hui, Flo est à 80 kg.


👉 Ce qui a tout changé ?

Une bascule mentale. Dès les premières semaines (je dirais même dès l’entretien lors de notre 1ere séance), elle a intégré une nouvelle croyance : “Je ne suis pas une personne grosse qui doit perdre du poids. Je suis une personne saine, qui prend soin d’elle, qui mange bien et qui bouge régulièrement.”

Et cette nouvelle identité est devenue son moteur.


Moment charnière du coaching :

une pause après 5 semaines (des vacances en Italie) — un moment redouté où tant de parcours s’essoufflent. Durant laquelle sa progression (ou plutôt sa perte de poids) s’est arrêtée net.

Aucune incidence sur sa volonté, elle est restée alignée avec sa nouvelle version d’elle-même, et a repris sa progression.

Encore mieux : lors des vacances suivantes (plus longue cette fois, une douzaine de jours sans se voir) , elle revient avec 1,5 kg en moins !!


Aujourd’hui, elle peut continuer seule, avec quelques ajustements ponctuels si besoin.

Elle n’a plus besoin de motivation extérieure. Elle agit parce qu’elle se définit ainsi.


5. Un outil fondamental : le système d’activation réticulaire (SAR)

Le SAR est une zone du cerveau qui filtre les milliards d’informations que nous recevons chaque jour.

👉 Il sélectionne ce qui est cohérent avec nos croyances et nos intentions profondes.

💡 Exemple : tu veux acheter une voiture rouge → tu en vois partout. Ce n’est pas qu’il y en a plus, c’est que ton cerveau les filtre désormais.

Dans un processus de perte de poids, si tu te vois comme une personne “faible”, “grosse”, “pas sportive”… ton cerveau cherchera à confirmer cette image. Inconsciemment.

Changer ton image interne, c’est reprogrammer ton cerveau à voir les opportunités, à ressentir les réussites, à rester engagé.

C’est ce que Flo a réussi à faire. Et c’est ce que j’enseigne à mes clients.



6. Conclusion : la clé est en vous, pas dans votre frigo.

Oui, il faut bouger. Oui, il faut mieux manger. Mais surtout, il faut se reprogrammer de l’intérieur.

Les vrais résultats viennent quand on travaille ses croyances, son identité et ses automatismes.

🧠 “Je suis une personne capable, motivée, .”

Ce type de discours intérieur transforme un programme en mode de vie.

👉 Si vous lisez ces lignes et que vous vous reconnaissez dans l’histoire d’Amélie, de Romain… ou de Flo : sachez que tout commence par une décision, pas par une séance.


 
 
 

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